Nous cuisons nos aliments depuis 700 000 ans, grâce à cela, l’être humain a pu développer son cortex cérébral (ou matière grise). En effet, la digestion des aliments cuit à besoin de beaucoup moins d’énergie de l’organisme que les aliments crus.
Par contre, la cuisson peut altérer la qualité de l’aliment. Une cuisson trop longue, va détruire vitamines, enzymes et modifier les minéraux. De plus, une cuisson au-delà de 100°, entrainera beaucoup plus de modification nutritionnelle.
Afin de préserver les vitamines et minéraux, il faudra éviter les fritures et grillades responsable du brunissement toxique des aliments appelé « molécules de Maillard ».
Manger des aliments crus, implique de prendre le temps de bien mastiquer, d’avoir un estomac avec une bonne acidité, ainsi qu’un microbiote en bon état. Dans le cas contraire vous aurez tendance à ballonner, à avoir des gaz malodorants, à mal assimiler les micronutriments et à prendre du poids.
Il nous faudra donc apporter des aliments crus et cuit à notre organisme.
Quelles matériaux utiliser pour la cuisson ?
Le matériau de composition de nos ustensiles de cuisine n’est pas anodin pour notre santé.
Voici le classement de celle qui sera la plus mauvaise, à celle qui sera meilleure : aluminium, plastique, fer-blanc, étain, cuivre, verre à feu, émail, porcelaine, fonte, acier inoxydable, terre cuite.
Les différentes manières de cuisiner :
La cuisson au micro-ondes :
Cette cuisson modifie la structure des aliments, jusqu’à rendre certaines molécules toxiques.
La caséine du lait par exemple devient toxique pour le système nerveux, le foie et les reins, après être chauffé au micro-onde.
De plus le micro-ondes, détruit les électrons (pôle négatif) et la physique quantique nous dévoile que si le positif (les protons) domine, c’est la mort du système. L’organisme va donc s’oxydé, vieillir prématurément, favorisant les maladies dégénératives.
Au contraire, si le négatif est majoritaire, les réactions et les échanges cellulaires sont facilités permettant la vitalité et le renouvellement du système.
Les fritures :
Cette cuisson est tolérable de temps en temps si vous n’avez pas de problème de santé. Dans le cas contraire, elles seront contre-indiqué car elle transforme les matières grasses en acroléines, dangereuse pour les muqueuses et cancérigènes.
Les grillades :
Cette cuisson favorise la carbonisation des graisses des grillades, lorsque ces dernières tombent sur les flammes et s’enflamment, devenant fortement cancérigène.
Les grillades devraient être cuite devant le feu avec un grill vertical et non pas au-dessus. Ainsi, les goudrons générés seront réduits.
La cuisson à l’eau :
Cette cuisson est à privilégier seulement pour confectionner des bouillons, car les légumes utilisés n’auront plus de nutriments ; ces derniers étant resté dans l’eau de cuisson.
Cuisson à la cocotte-minute ou autocuiseurs :
Cette cuisson sous pression est à éviter car la température monte rapidement et détruit la totalité des nutriments, ne laissant que les fibres.
La cuisson à la vapeur :
Cette cuisson ne détruit pas les nutriments et ne produit pas de molécules toxiques car sa température ne monte pas au-delà de 100°.
Il faut cependant veiller à ce que le couvercle du cuit vapeur ne soit pas plat, afin que les gouttelettes de condensation ne retombent pas sur l’aliment, pour ne pas risquer une destruction des nutriments en les brûlant.
De plus il faut éviter les cuissons sur plusieurs étages, car la température n’étant pas la même, les cuissons ne sont pas homogènes.
Accompagnement de la naturopathie :
Naturopathe spécialisée dans les troubles digestifs et génitaux, je vous propose de vous accompagner par des conseils et techniques naturelles, afin que vous retrouviez votre confort et bien-être.
Et vous, quel mode de cuisson privilégiez-vous ?